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22 juin 2009 1 22 /06 /juin /2009 17:53

Bevet_Parachutiste_Militaire-c43cf.jpgGilbert TRIESTINI,Président de l'UNP THIONVILLE section Erwan BERGOT,


vous informe que le para Jean BOLZINGER à rejoint l'Archange Saint-Michel dans la nuit du Dimanche 21 Juin 2009.
  Ses obsèques auront lieux le jeudi 25 avril 2009 en l'Eglise Saint Pierre de THIONVILLE quartier Saint-PIERRE
Soyez nombreux pour lui rendre un dernier Hommage
Tenue UNP et gants blancs si possible..
Je vous en remercie d'avance.

La cérémonie aura lieu à 14h30,Eglise Saint-Pierre,quartier boucle de Saint Pierre à Thionville.(l'église est située rue de Longwy face à l'horticulteur Klop)Par l'autoroute,sortie sur Carrefour/Geric,au rond point à droite vers le centre ville,c'est tout de suite derrière les immeuble faisant face a Carrefour.

SM.jpg

 

 

Deux images souvenir de Jean.

Jean-1.JPG

 

Jean-2.JPG

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16 juin 2009 2 16 /06 /juin /2009 13:38

 

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Si une personne possède des photos plus adaptées à cette manifestation,elle peut nous les faire parvenir.

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9 mai 2009 6 09 /05 /mai /2009 18:13



Le 22 fevrier l'Assemblée générale de la section a eu lieu à Terville,suivie d'un vin d'honneur,offert par la commune..

 

2009 Terville Assemblée Générale (3)

 

2009 Terville Assemblée Générale (1)

 

 

2009 Terville Assemblée Générale (2)

 

 

 

Le 18 avril nous avons eu la visite du Général Piquemal à Thionville 2009-avril-visite du Général Piquemal à Thionville.


 

Le 7mai ,la Commémoration de la Bataille de Dien Bien Phu a eu lieu dans la commune de Koenigsmacker

 

2009 Koenigsmacker 7 mai (1)


 

2009 Koenigsmacker 7 mai (4)


 

2009 Koenigsmacker 7 mai (3)


 

2009 Koenigsmacker 7 mai (2)

 

 

(photos de André Freichen)

 

 

 

 

 

 

 

(Les photos qui ont servi à faire ce petit film sont de André Frechein). 

 

 

 

 

 

 

 

Le 8 mai- Vous pouvez trouver des images du 8 mai sur le Blog de michelsberg (à partir de la page 27) ,

clic sur le lien suivant pour accès au blog Michelsberg:  link

Le fort de Michelsberg est un ouvrage d'artillerie de la ligne Maginot qu'il est possible de visiter.

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25 avril 2009 6 25 /04 /avril /2009 13:48

Le 18 avril nous avons eu la visite du Général Piquemal et de Jean-Claude Houlne à Thionville.Le Général Piquemal a remis une médaille a trois de nos adhérent pour services rendus.

Le calendrier des activités en 2009.Mot du Président.

Allocution de Bienvenue de notre Président Gilbert Triestini.


Allocution de Bienvenue


Monsieur le Général Christian PIQUEMAL, Président de l’Union Nationale des Parachutistes,
Monsieur Jean-Claude HOULNE, secrétaire général de l’Union  Nationale des Parachutistes,
 Soyez les bienvenus à THIONVILLE, ville au passé glorieux.
C’est avec un immense plaisir que nous vous accueillons, mon Général, dans cette salle des Capitulaires, de ce lieu chargé d’histoire qu’est le BEFFROI.
C’est un honneur que vous nous  faites, en venant à notre rencontre, nous les membres de l’une de vos sections, celle du Capitaine Erwan BERGOT de Thionville Est-Ouest et Vallée de l’Orne .Section n°574 dont Monsieur le secrétaire Général  Jean-Claude HOULNE en fut le 1er Président. Aujourd’hui cette fonction m’incombe. Lourd  héritage, mais je l’assume avec fierté, dans la continuité de mes prédécesseurs
Malgré votre emploi du temps chargé, vous êtes là parmi nous, pour cette journée avant de rejoindre SARREBOURG dimanche pour le 30ème anniversaire de la section UNP locale.
MERCI, mon Général, au nom de tous les parachutistes et sympathisants de l’UNP dont je me fais le porte-parole de ceux présents et aussi  absents.
Merci, Jean-Claude pour ton aide précieuse afin que cette visite se concrétise.
Ce jour est grand pour moi, en fonction depuis 1 année, mais le sera encore plus pour 3 de nos membres, et rempli d’émotion. Car ils auront le privilège d’être récompensé par notre Président National, dans notre ville et devant leurs frères parachutistes.
Le choix était  difficile, d’autres  membres, seront, je le souhaite à l’honneur lors d’autres réunions UNP Nationale tel que Congrès ou Saint-Michel à PARIS. 
Vive notre Général et Président National  Christian PIQUEMAL
Vive  L’UNP 
Vive   Thionville
Vive La France



Et par Saint-Michel………….

                                                         
                                                                                
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Article du Républicain Lorrain.


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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 16:19

 


En septembre,55 personnes de la section de Thionville ont participé à la cérémonie de la Saint Michel nationale à Paris-
Le matin,arrivée aux Invalides,messe dans la chapelle Saint-Louis,l'après midi défilé et cérémonie à l'Arc de Triomphe,retour aux Invalides pour un rassemblement de tous les anciens Paras,pot,chants et retour Thionville.
Quelques photos.

 

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 2008 Saint Michel Paris 1 

 

2008 Saint Michel Paris 8

 

2008 Saint Michel Paris 4 

 

2008 Saint Michel Paris 7


 

2008 Saint Michel Paris 5


 

2008 Saint Michel Paris 6

 

 

2008 Saint Michel Paris 9


 

2008 Saint Michel Paris 11


 

 

 

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Le soir,reception avec buffet à l'Hôtel des Invalides,après les chants les lieux ont retrouvé leur calme.

2008 Saint Michel Paris 10

 

 

 

Parlons des Invalides.

 

 Vieil écrit sur les Invalides.


   recits extraits d'un numero de "Le Petit Journal illustré "d'avril, 1908.                        

 LES DERNIERS INVALIDES,qu'on parlait d'expulser récemment.

Dans un vieux poème sur les Soldats invalides,le poète La Monnoye disait;

Moins vous êtes entiers et plus on vous admire,
Semblables à ces troncs,jadis si révérés
Que la foudre en tombant avait rendus sacrés.

Or,nous avons bien failli ne plus les admirer,les vieux braves si vénérés de la population parisienne.Leurs hauts faits,les blessures reçues au service de la Patrie devraient,certes,les avoir rendus sacrés.Mais le propriétaire-Etat avait besoin de leur palais;il songea un moment à les en expulser.A leur place,on eût installé dans l'Hotel les états-majors,les musées de l'Armée et de la Marine.
Et voila pourquoi les invalides à jambes de bois,les invalides manchots eussent été congédiés.
Mais on a pensé qu'une telle mesure  serait pour eux trop cruelle.Les invalides,on l'éspère,finiront tranquillement leur existence en cette demeure historique.D'ailleurs ils ne sont plus que vingt-neuf.Sur ce nombre,onze sont des survivants de la guerre de Crimée,sept de la guerre d'Italie,un de la guerre du Mexique,deux de la campgne de Rome,les autres ont pris part aux combats de 1870 et de la Commune.Parmis eux est un officier,le capitaine Colembain,prisonnier à Sedan et blessé à l'assaut d'une barricade de la rue Saint-Dominique;un autre,simple soldat,qui se nomme Lévy,et qui est manchot et gardien du tombeau de l'empereur.
Avant qu'ils aient disparu jusqu'au dernier,nous avons voulu rappeler le passé glorieux de l'institution dans notre Variété anecditique d'aujourd'hui,et rendre une fois ensore hommage à ces vieux serviteurs du pays.

VARIETE  

LES INVALIDES

Ils on failli partir-L'Hotel des Invalides de Louis XIV à nos jours-Une manifestation sur la place de la Victoire-Deux invalides du sexe aimable-Angélique Duchemin et Rose Barreau'L'invalide à la tête de bois.


Les Invalides ont failli partir,quitter le vieil Hôtel que le grand roi éleva ,voici deux cent trente-quatre ans,pour y loger les débrits de nos gloires militaires.
En passant par l'esplanade,nous n'aurions pu rencontrer la silouhette légendaire de l'invalide vêtu de la longue redingote de drap bleu et coiffé de la casquette plate ornée de la cocarde tricolore.
Nous n'aurions plus vu ces vieux braves dont la poitrine s'étoilait de tant de médailles et de croix....C'eut été la disparition d'une belle physionomie parisienne et d'une grande figure française.
Heureusement,on nous fait éspérer que les Invalides ne seront point expulsés;et tout est bien qui finit bien.
                                           
                                                                                              *********

Si l'Hôtel des Invalides fut élévé sous Louis XIV,ce n'est point à dire qu'auparavent la monarchie française n'ait rien fait pour ses soldats vieillis ou bléssés à son service.Déjà Charlemagne obligeait les monastères à recevoir et héberger,en qualité de frères lais,les soldats blessés à la guerre.Mais la première idée d'un asile pour les vieux guerriers appartient au Béarnais.Si nous consultons l'excellent ouvrage de Léon Mention,sur l'Armée des anciens régimes,nous y voyons que l'établissement des Invalides a été le résultat d'un lent travail ébauché sous Henri IV,repris par Richelieu et achevé par Louvois:

En 1606 le roi fait choix de la maison de la Charité chrétienne,sise faubourg Saint-Michel,pour devenir l'asile des pauvres gentishommes,capitaines,soldats estropiés,vieux et caducs.Louis XIII,à son tour,établit une communauté en ordre de chevalerie sous le nom de Saint-Louis,pour nourrir et entretenir tous soldats estropiés au service.
Enfin,Louvois reprend ces projets inachevés et en fait sortir une institution .
Un impôt payé par les abbayes,un autre sur les sommes payées par le département de la Guerre lui procurent les ressources nécessaires.Bientôt,les immenses bâtiments de l'Hôtel des Invalides s'élèvent dans la plaine de Grenelle,sur la Seine,proche Paris.Ils sont l'oeuvre de l'architecte Libéral  Bruant.Mansart fait les plans du dôme;Girardon dirige les travaux de sculpture.En moins de quatre ans,l'Hôtel est achevé....On bâtissait,en ce temps -là,plus solidement et plus vite qu'aujourd'hui.Il est vrai qu'on ne connaissait pas les grèves.

Par l'édit de création,l'Hôtel devait servir d'asile à ceux qui avaient exposé leur vie  et prodigué leur sang pour la défense et le soutien de la monarchie et contribué si utilement au gain des batailles.
Louvois avait un autre but en créant les Invalides,jusqu'alors l'état de soldat était singulièrement précaire.En assurant aux militaires un asile pour leurs vieux jours,le ministre comptait encourager l'enrôlement des jeunes gens,les fixer au corps,rendes plus stable la condition du soldat et l'élever désormais au niveau d'une profession.

Il ne faut pas,dirait l'édit,que les jeunes gens soient détournés du métier des armes par la méchante condition ou se trouveraient ceux qui,s'y étant engagés ou n'ayant point de biens,y auraient vieilli ou été estropiés si l'on n'avait soin de leur subsistance.

On avait négligé de définir nettement les conditions d'admission aux Invalides.Il suffisait,pour y être admis,que le conseil d'administration de l'Hôtel eût jugé bons et valables les services des candidats.
Il y eu des abus inouîs.La foule des anciens soldats s'y précipita.Certains d'entre eux n'avaient pas quarante ans et étaient exempts de blessures.Au dix-huitième siècle,on vit même s'introduire à l'Hôtel de faux invalides,domestiques d'officiers,valets de hauts personnages qui avaient obtenu ces certificats de complaisance.

Ce ne fut que sous Louis XVI qu'un réglement sévère fut établi,permettant de ne donner asile qu'à ceux que leurs blessures,leur age ou leur état de santé rendaient incapables de vivre ailleurs.

Le comte de Saint-Germain décide que le nombre des officiers et soldats qui pourront être désormais entretenus à l'Hôtel ne dépassera pas 1500.Un grand nombre d'invalides,encore suffisemment ingambes,sont expédiés dans les provinces.

Tous les auteurs des Mémoires du temps se sont attendris sur l'exode de ces pauvres diables.
"Une des voitures qui les transportaient s'arrêta place des Victoires,...ces vieux soldats descendirent,les yeux baignés de larmes,et s'agenouillèrent devant la statue de Louis XIV;leur fondateur,l'appelant leur père et s'écriant qu'ils n'en avaient plus...."

C'eut été un triste et émouvant spectacle si les quelques vieux briscards qu'on parlait d'expulser ces jours derniers s'étaient avisés de se livrer à une pareille manifestation au peid de la statue du grand roi.

                                                                                        ***************

Napoléon fut le grand bienfaiteur des Invalides.En 1811 il leur accorda une dotation de six millions.Il est vrai qu'il fit des éclopés plus qu'aucun monarque n'en fit jamais.En 1812,il y avait en France 26.000 invalides.Pour loger cette armée de vieux soldats,il fallut créer trois sucursales des Invalides,à Versailles,à Avignon et à Gand.Celle d'Avignon existait encore en 1850.
On vit alors,dans les asiles de la gloire,des invalides de tous les âges;on y vit même des femmes....oui,des femmes qui avaient fait les guerres de la Révolution et de l'Empire.
Les personnes qui visitèrent l'Hôtel des Invalides de Paris n'ont pas été peu surprises,j'imagine,de voir à la cantine le portrait d'une invalide du beau sexe,en costume de sous-lieutenant.

Cette invalide n'est autre qu'Angélique Duchemin,veuve Brulon,dite Liberté .

Angélique Duchemin était fille,femme et soeur de soldats.Tous ses parents étaient sous les drapeaux pendant les guerres de la Révolution.Son mari,sergent au 42eme de ligne en garnison à Ajaccio,ayant été assassiné,Angélique,demeurée veuve avec une petite fille,revêtit les vêtements du mort après en avoir fait disparaitre les galons,puis elle s'en fut trouver le général Casablanca,qui commandait la division,et lui demanda la faveur de remplacer son mari au régiment.

La Patrie,alors,avait besoin de toutes ses ressources,et l'on ne repoussait aucune bonne volonté.Le général consentit.-seulement,lui dit- il,c'est une fantaisie qui vous passera vite.Vous ne pourrez demeurer longtemps parmis nous.

Angélique y demeura toute sa vie.

A peine engagée,elle eut à prendre part à la defense d'Ajaccio contre les Anglais,puis à celle de Calvi.Des soldats manquaient pour le service des canons,Liberté(c'est ainsi que les soldats l'ont nommée)s'improvise artilleur.Tandis qu'elle pointe et répond au feu des ennemis,sa petite fille est auprès d'elle et pleure quand on veut la séparer de sa mère.Les Anglais donnent l'assaut,Liberté est bléssée,mais elle continue à combattre.
Dans la suite de sa carrière militaire,elle devait recevoir cinq autres blessures.Après avoir fait les premières campagnes de l'Empire,elle entra aux Invalides.Elle y devait rester un demi-siècle.En 1822,le roi lui envoya un brevet de sous-lieutenant;en 1851,Napoléon III la nomma chevalier de la Légion d'honneur.

Tout le temps qu'elle vécut parmis ces vieux témoins de nos gloires,elle fut comme une reine au milieu d'eux.Sa fille,qui vivait avec elle,entoura ses derniers jours des soins les plus touchants.Depuis l'époque ou,toute enfant,elle se cramponait à l'affût du canon que l'héroïne pointait contre les Anglais sur les remparts de Calvi,la fille de Liberté n'avait pas quitté sa mère un seul instant.

                                                                              ********************

La succursale d'Avignon eut,elle aussi,son invalide du sexe aimable.

Celle-ci s'appelait Rose-Alexandrine Barreau,femme Layrac.En 1792 elle s'était engagée au 2eme bataillon du Tarn avec son mari Jean-Baptiste Layrac,et son frère Cyprien Barreau.

Tous trois firent la campagne des Pyrénées occidentales dans la fameuse "colonne infernale" de La tour-d'Auvergne.
A l'attaque de la redoute d'Arnéguy,Rose vit tomber à côté d'elle son frère et so époux,le premier tué,le second grièvement blessé.Elle continua de combattre;puis,l'ennemi repoussé,elle porta de ses mains son mari à l'hôpital,et la guerrière redevint femme pour panser la blessure et consoler le bléssé.

Pendant près de treize ans,elle demeura au régiment.Elle fut des troupes de Moncey qui conquirent la Navarre.Plus tard,elle alla,sous Bonaparte,en Italie.

L'empereur en 1805,entendit parler de ses hauts faits.Par décret du 30 septembre,il ordonna qu'elle fût mise à la retraite et lui alloua,ainsi qu'à son mari,une pension militaire.
Les deux époux revinrent au pays natal,ou ils vécurent une vingtaine d'années,inséparables dans leur ménage comme ils l'avaient été sous les drapeaux.

En 1825,enfin,la mort les désunit.Elle enleva Jean-Baptiste Layrac.Seule désormais,épuisée par les fatigues des campagnes et souffrant de blessures anciennes,l'héroïne n'eut plus qu'un désir:achever sa vie au milieu de cette armée à laquelle s'était consacrée toute l'areur de sa bouillante jeunesse.
Elle sollicita et obtint son admission à la succursale des Invalides d'Avignon.Et c'est là que,le 24 janvier 1843,entourée de quelques vieux compagnons d'armes,s'éteignit cette femme,glorieux débris de la colonne infernale.

                                                                            *************************

Au temps ou les vieux briscards étaient encore nombreux dans le majestueux Hôtel du grand roi,ce n'était point seulement de histoires guerrières ou des souvenirs mélancoliques qu'ils échangeaient entre eux.Quelques uns,en dépit de l'äge,avaient gardé la joyeuse humeur des loustics de chambrée.Il se fit aus Invalides plus d'une bonne farce de régiment.La plus ancienne et la plus illustre s'est perpétuée jusqu'à nos jours :c'est celle de l(invalide à la tête de bois.
Elle date,je crois bien,du dix huitième siècle,et c'est inouï ce qu'elle servit à mystifier de jocrisses et de badauds.
Les invalides se faisaient une joie de la compliquer et de l'éterniser de leur mieux.Quand un nigaud se présentait pour voir l'invalide à la tête de bois,on commençait par le promener par les couloirs du haut et du bas de l'édifice....Le glorieux mutilé n'était pas dans sa chambre.
-il est peut être à la cantine,disait quelqu'un.
A la cantine on renvoyait le visiteur chez le barbier.Celui-ci venait tout justement de faire la barbe à l'invalide à la tête de bois.Mais le vieux guerrier devait être à present au jardin...Au jardin,on l'avait vu,en effet,se diriger vers le corps de garde.
Au corps de garde,pas plus de tête de bois que sur la main.Le célèbre invalide vient de sortir....
-tenez,le voila là-bas qui se promène sur l'Esplanade.
Et le nigaud courait.
Et les invalides s'amusaient ,faisaient des gorges chaudes à ses dépens.Ils avaient,ces vieillards,des joies et des insouciances d'enfants.C'est qu'ils se savaient là tranquilles,sûrs du lendemain;ils savaient que leur vie s'achèverait doucement dans ce palais de la gloire.
Avouez que ce serait pure cruauté que de détruire en eux cette suprême illusion....

Ernest LAUT.

Le Petit Journal illustré du 26/4/1908;

 

 

                                                                         


                                       
 

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 13:50

 

2008 Saint Michel Thionville 3

 

 

2008 Saint Michel Thionville 2

 

2008 Saint Michel Thionville 4

 

 

2008 Saint Michel Thionville 1

 

 

2008 Saint Michel Thionville 5

 

 

2008 Saint Michel Thionville 6

 

 

2008 Saint Michel Thionville 7

 

 

Septembre-Cérémonie de la Saint Michel de la section en la présence de Michel Boudaille délégué régional de Lorraine,de Gérard Wenner membre au conseil d'administration National UNP et président de la section du Gers,de nomreux élus,militaires et présidents d'associations,de sympathisants,accompagnés par la musique des sapeurs-pompiers de THIONVILLE.

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20 avril 2009 1 20 /04 /avril /2009 12:58


(photos de dlf)

 

2008 méchoui 2

 

 

2008 méchoui 3

 

 

2008 mechoui 1

 

 

2008 méchoui 4

 

 

2008 Yutz 2

 

2008 Yutz 1

 

2008 Yutz 3

 


 

2008 novembre Kédange 1

 

 

2008 novembre Kédange 2

 

 

2008 novembre Kédange 4

 

 

2008 novembre Kédange 5

 

 

De haut en bas.

La journée plein air en juin dans le parc de Distroff .
Le stand de recrutement avec le president et son équipe sur les berges de la Moselle à YUTZ le 14 juillet.
Ceremonie du 11 novembre à Kédange sur Canner.

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19 avril 2009 7 19 /04 /avril /2009 18:01

 

2008 Yutz 7 mai 4

 

 

2008 Yutz 7 mai 7

 

 

2008 Yutz 7 mai 6

 

Commémoration du 54eme Anniversaire de la Bataille de Dien Bien Phu et du 63 éme Anniversaire de la Victoire de 1945 à YUTZ.


2008 Yutz 7 mai 5

 

 


2008 Yutz 7 mai 3

 

 

2008 Yutz 7 mai 2

 

 

2008 Yutz 7 mai 1

 

 

2008 Yutz 7 mai 8

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